Ce pastel est le dernier d'une série de cinq tableaux de même format, ayant pour thème le contre-jour. Le contre-jour se matérialise sur une photo par des vibrations parasites entre les lentilles de l'objectif. Mais pas seulement : les rais de lumières de Parfois, je me lève tôt… était bien réelles.
Ici, le contraste entre les parties droite et gauche était très important. Dans ce cas, l'œil se consacre en priorité à la parité lumineuse, la zone sombre étant perçue comme une zone plus ou moins indifférenciée. Pour représenter ce grand écart de valeurs de luminosité, j'ai laissé le blanc du papier brut pour représenter le ciel et j'ai noyé dans le noir, au pastel Girault, (qui ont un noir bien couvrant), la base des arbres.
Ici, le contraste entre les parties droite et gauche était très important. Dans ce cas, l'œil se consacre en priorité à la parité lumineuse, la zone sombre étant perçue comme une zone plus ou moins indifférenciée. Pour représenter ce grand écart de valeurs de luminosité, j'ai laissé le blanc du papier brut pour représenter le ciel et j'ai noyé dans le noir, au pastel Girault, (qui ont un noir bien couvrant), la base des arbres.
Contre-jour 5 - La Grésigne ::: Pastel sur Canson Mi-Teintes Touch blanc - 40x29cm |
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